Hier, j’ai reçu deux courriels émanant de deux groupes de protection des animaux différents, adoptant des points de vue opposés sur le débat relatif au registre des mauvais traitements infligés aux animaux. Le premier provenait de l’Animal Legal Defense Fund (ALDF) et présentait une photo de Justin, un Doberman de 19 livres trouvé affamé et au bord de la mort dans une maison saisie.
L’ALDF annonçait deux bonnes nouvelles : Tout d’abord, Justin s’est rétabli et vit désormais de façon permanente et heureuse avec le policier qui l’a sauvé. Deuxièmement, la loi de Justin, qui prévoit la création d’un registre des maltraitants d’animaux, est désormais en vigueur.
Voyez si vous pouvez lire les expressions faciales de ces chats !
Pourquoi est-ce important ? Les refuges du comté de Suffolk, dans l’État de New York, disposeront désormais d’une base de données consultable sur les personnes condamnées pour maltraitance envers les animaux. Les administrateurs pourront refuser d’adopter des animaux à toute personne ayant déjà été condamnée pour cruauté.
Le second courriel m’a alertée sur un article de blog rédigé par le président de la Humane Society of the U.S. (HSUS), Wayne Pacelle. Je suis un fan de la HSUS. Bien que je ne sois pas d’accord avec toutes ses positions, je crois en sa mission. J’admire le travail qu’elle accomplit pour dénoncer et éliminer les usines à chiots, et je respecte le lobbying stratégique qu’elle exerce à Washington, en particulier au nom des animaux de ferme.
M. Pacelle explique l’absence de soutien au projet de loi
J’ai donc été particulièrement troublée de lire le billet de Pacelle expliquant qu’il n’était pas favorable à la création d’un registre des mauvais traitements infligés aux animaux. Au lieu de cela, Pacelle veut se concentrer sur la réhabilitation de ceux qui ont mutilé et tué des chats et des chiens. Ses arguments (en italique) sont des citations tirées directement du billet de mardi :
« Lorsqu’elles sont reconnues coupables de cruauté, ces personnes doivent être punies. Mais l’expérience a montré clairement que ces personnes constitueraient une menace moindre pour les animaux à l’avenir si elles bénéficiaient d’une assistance psychiatrique complète ».
Une « menace moindre » est un pas dans la bonne direction. Mais qu’en est-il de la menace no pour les animaux en empêchant les délinquants d’en avoir à nouveau ? Si nous disposions de toutes les ressources du monde, l’accompagnement psychologique serait une excellente solution. Mais ce qui m’intéresse aujourd’hui, c’est de protéger les innocents, et non de réhabiliter les coupables.
*Il est peu probable que le fait de les humilier [les délinquants] par un profil public sur Internet ait un impact sur leur comportement futur – sauf peut-être pour les isoler davantage de la société et accroître leur méfiance à l’égard des figures d’autorité qui tentent de les aider ».
Hier, j’ai reçu deux courriels émanant de deux groupes de protection des animaux différents, adoptant des points de vue opposés sur le débat relatif au registre des mauvais traitements infligés aux animaux. Le premier provenait de l’Animal Legal Defense Fund (ALDF) et présentait une photo de Justin, un Doberman de 19 livres trouvé affamé et au bord de la mort dans une maison saisie.
L’ALDF annonçait deux bonnes nouvelles : Tout d’abord, Justin s’est rétabli et vit désormais de façon permanente et heureuse avec le policier qui l’a sauvé. Deuxièmement, la loi de Justin, qui prévoit la création d’un registre des maltraitants d’animaux, est désormais en vigueur.
Voyez si vous pouvez lire les expressions faciales de ces chats !
Pourquoi est-ce important ? Les refuges du comté de Suffolk, dans l’État de New York, disposeront désormais d’une base de données consultable sur les personnes condamnées pour maltraitance envers les animaux. Les administrateurs pourront refuser d’adopter des animaux à toute personne ayant déjà été condamnée pour cruauté.
Le second courriel m’a alertée sur un article de blog rédigé par le président de la Humane Society of the U.S. (HSUS), Wayne Pacelle. Je suis un fan de la HSUS. Bien que je ne sois pas d’accord avec toutes ses positions, je crois en sa mission. J’admire le travail qu’elle accomplit pour dénoncer et éliminer les usines à chiots, et je respecte le lobbying stratégique qu’elle exerce à Washington, en particulier au nom des animaux de ferme.
M. Pacelle explique l’absence de soutien au projet de loi
J’ai donc été particulièrement troublée de lire le billet de Pacelle expliquant qu’il n’était pas favorable à la création d’un registre des mauvais traitements infligés aux animaux. Au lieu de cela, Pacelle veut se concentrer sur la réhabilitation de ceux qui ont mutilé et tué des chats et des chiens. Ses arguments (en italique) sont des citations tirées directement du billet de mardi :
« Lorsqu’elles sont reconnues coupables de cruauté, ces personnes doivent être punies. Mais l’expérience a montré clairement que ces personnes constitueraient une menace moindre pour les animaux à l’avenir si elles bénéficiaient d’une assistance psychiatrique complète ».
Une « menace moindre » est un pas dans la bonne direction. Mais qu’en est-il de la menace no pour les animaux en empêchant les délinquants d’en avoir à nouveau ? Si nous disposions de toutes les ressources du monde, l’accompagnement psychologique serait une excellente solution. Mais ce qui m’intéresse aujourd’hui, c’est de protéger les innocents, et non de réhabiliter les coupables.
*Il est peu probable que le fait de les humilier [les délinquants] par un profil public sur Internet ait un impact sur leur comportement futur – sauf peut-être pour les isoler davantage de la société et accroître leur méfiance à l’égard des figures d’autorité qui tentent de les aider ».
Mon intérêt n’est pas d’aider les sadiques condamnés à se réinsérer dans la société. J’essaie de protéger les animaux contre les abuseurs connus, et un registre est un excellent outil pour assurer cette protection.
« Et est-ce que d’autres personnes que celles engagées dans notre cause consulteraient un tel site web ? «